LES ÉDITIONS MARCHIALY
Les éditions Marchialy, dirigées par Clémence Billault et Cyril Gay, publient des histoires vraies portées par une exigence littéraire : grands reportages, enquêtes romancées, épopées gonzo, récits d’exploration.
ÉDITEUR D’HISTOIRES VRAIES.
Chez Marchialy, nous croyons que la littérature, lorsqu’elle s’empare d’histoires vraies, peut nous aider à comprendre et à appréhender le monde contemporain. Tout ce que vous lirez dans nos livres est réellement arrivé, que ce soit l’histoire d’un flûtiste virtuose qui commet un casse dans un grand musée d’histoire naturelle, d’une jeune femme canadienne qui part sur les traces de ses ancêtres à Taïwan ou d’une brigade de flics obstinés battant la campagne charentaise pour re- trouver une enfant disparue.
Chez Marchialy, nous croyons aussi que l’objet, le livre, a le pouvoir de véhiculer ce savoir. Sa couverture, la mise en page intérieure, le choix de la typographie sont autant de composants qui résonnent avec l’histoire racontée, accompagnent le lecteur et valorisent le texte de l’auteur.
La démarche singulière de Guillaume Guilpart
— artisan du livre, graveur et typographe — de graver chaque illustration de couverture dans le bois n’est pas sans rappeler le geste de l’auteur qui met en forme le réel.
ALCHIMIE ÉDITORIALE ET GRAPHIQUE.
Les éditions Marchialy se consacrent à la littérature du réel. Elles publient des textes de non-fiction qui puisent dans les techniques du roman. C’est une attention portée
à l’écriture, au ton, à la forme qui traduit le regard de l’auteur sur le monde.
Ainsi, chaque histoire appelle une structure narrative propre en fonction de son sujet.
Guillaume Guilpart a dû trouver une identité graphique qui est à la fois commune à Marchialy et singulière à chaque livre. La couverture d’un ouvrage et sa mise en page sont une rencontre entre les codes graphiques d’un genre, l’univers porté par le texte et la sensibilité d’un artiste- illustrateur. La singularité s’exprime à travers
le dessin, les couleurs ou encore le choix de la typographie, alors que c’est la technique de la gravure qui crée une cohérence graphique reconnaissable entre toutes.
